Benjamin Kololli est de retour dans le Chablais. L’aventure nippone du footballeur bellerin s’est terminée en cette fin d’année. Il est désormais à la recherche d’un nouveau challenge sportif. Rencontre.
Après deux ans et demi sur les terrains nippons, Benjamin Kololli est de retour en Suisse. L’aventure du footballeur bellerin au Japon, au sein de l’effectif du Shimizu S-Pulse, a pris fin il y a quelques semaines.
En cinquante matchs disputés sous la tunique orange du club, l’ancien joueur de Sion, Lausanne et Zurich aura inscrit un total de sept buts, pour deux passes décisives.
De son exil, le trentenaire ne retient que du positif, à commencer par le niveau sportif. Il juge en effet le niveau footballistique japonais supérieur à celui de la Super League suisse. Qu’il s’agisse de la 1ère division, mais aussi de la deuxième, qu’il a connue après la relégation de son équipe, à la fin de l’année 2022.
De cette expérience à l’étranger – la première de sa carrière – Benjamin Kololli en retient aussi une belle leçon de vie. Notamment en ce qui concerne la gentillesse de la population.
Le footballeur est désormais à la recherche d’un nouveau challenge sportif, en Suisse ou à l’étranger. « Je ne ferme aucune porte », nous a-t-il confié. Une de ces portes pourrait être celle du Lausanne-Sport. Un club au sein duquel il a passé deux saisons, entre 2016 et 2018, et qui a pour entraîneur actuel un certain Ludovic Magnin. L’ancien international suisse a déjà coaché le joueur de 31 ans à Zurich.
Ce projet pourrait donc attirer Benjamin Kololli. Mais ce n’est pas le seul qui trotte dans la tête du Bellerin. Le FC Sion joue la tête de Challenge League ; un de ses anciens manager – Fabio Celestini – est à la tête du FC Bâle…
Autant de possibilités qui pourraient déboucher dans un futur proche. Mais parmi les priorités de Benjamin Kololli se trouve la stabilité.
Le Chablaisien s’entraîne aujourd’hui, avant de trouver une nouvelle équipe. Et, pourquoi pas, selon son souhait, retrouver l’équipe nationale du Kosovo, pour laquelle il a évolué à 24 reprises.