Les fêtes de fin d’année se rapprochent à grands pas. Pour entamer ce sprint final vers les cadeaux, réunions de familles ou autres copieux repas, nous sommes partis à la rencontre de plusieurs jeunes athlètes de la région pour les interroger sur cette période festive.
Une période toujours délicate quand on évolue au plus haut niveau. Et pour ce 1er épisode, honneur au hockey sur glace, avec Yonas Berthoud. Le natif de Lavey a fait toutes ses gammes au HC Monthey-Chablais, avant de rejoindre le HC Sierre. À 21 ans, sa progression est fulgurante, notamment grâce à son temps de jeu important du côté de Graben.
À l’approche des festivités liées à Noël, Yonas Berthoud est revenu sur cette période particulière en tant que joueur du HC Sierre.
Yonas Berthoud, l’année 2021 touche bientôt à sa fin, si vous vous deviez retenir une chose de ces douze derniers mois ?
Sur le plan sportif, 2021 a été une très bonne année pour moi. Je ne garde pas forcément un souvenir en particulier mais l’ensemble de l’année s’est très bien passé pour moi.
Sur cet aspect sportif justement, est-ce qu’il y a un évènement qui vous a marqué durant cette année 2021 ?
Je ne pense pas qu’il y ait un évènement particulier dont il faut se rappeler. Je parlerai plutôt de quelque chose de global. Mais s’il faut citer un élément, je dirais mon premier goal à Sierre.
À quelques jours des fêtes de fin d’année, une période où évidemment les cadeaux sont de rigueur comme le veut la tradition, quel sera le cadeau idéal pour l’athlète que vous êtes ?
En tant que hockeyeur, je dirais des cannes neuves. Ce n’est pas hyper original, mais c’est vrai que sur une saison, on peut en casser un certain nombre, et en racheter peut rapidement couter cher.
Est-ce qu’en tant qu’athlète, on arrive à profiter des fêtes de fin d’année ?
C’est vrai qu’on a un programme relativement chargé. Avec le HC Sierre, il y a des matchs qui sont prévus le 23 décembre puis le 28 et le 30 décembre. On a donc tout de même la possibilité de passer Noël en famille, notamment le 24 et le 25. Mais le reste du temps, les entrainements ont lieu tous les jours
On est en plein cœur de la saison de hockey sur glace, est-ce qu’on peut quand même se faire plaisir en termes de repas ?
(Rires…) On a quand même le droit de se faire plaisir. Une ou deux fondues par-ci par-là, c’est tout à fait envisageable.
Les fêtes de fin d’année permettent d’entrevoir l’an prochain. C’est généralement l’heure des nouvelles résolutions. Quelles sont-elles pour 2022 vous concernant ?
Alors je ne suis pas quelqu’un qui prend beaucoup de résolutions, je n’ai jamais de petites listes en début d’année. Mais si je devais en choisir une, ce serait de continuer sur cette lancée et ne surtout pas forcer les choses.
Sur le plan sportif, quel serait les aspects que vous souhaiteriez travailler, améliorer ?
Je pense que la priorité pour l’heure est de confirmer ma place au sein du HC Sierre et ensuite en Swiss League, qui est vraiment une belle vitrine pour la National League. Ce sont mes objectifs aujourd’hui, même s’ils n’ont pas beaucoup changé ces derniers mois.
Justement, quel est votre statut actuellement au sein du HC Sierre ?
C’est une question compliquée. Il y a beaucoup de joueurs d’expériences au sein de l’effectif, qui ont parfois 6 voir 7 saisons de Swiss League dans les jambes. Pour ma part, avec ce temps de jeu, c’est ma véritable première saison avec le HC Sierre. Je suis encore jeune et donc encore tout à prouver.
En termes d’objectifs avec le HC Sierre, quels sont-ils pour 2022 ?
En début d’année prochaine, le championnat vivra sa phase finale, avec notamment les playoff. Donc notre premier objectif consistera à terminer dans les 6 premiers afin d’éviter de passer par la case « pré playoff ». Du moment que cet objectif sera rempli, le reste ne sera que du bonus.