
55 tonnes de plastique rentrent chaque année dans le Léman.
Principalement via les eaux de ruissellement. Déchets sauvage, abrasion des pneumatiques sur le bitume, rejets industriels ou agricoles, eaux usées domestiques: les sources de pollution sont multiples, comme l’a confirmé un récent symposium chapeauté par l’Association de sauvegarde du Léman (ASL). Avec à la clé ce constat: les risques sont importants pour les écosystèmes et, consécutivement, pour l’être humain. D’où l’importance de mettre en place des actions tant au niveau de l’industrie qu’auprès des particuliers, entre autres, pour limiter la production et l’usage du plastique. Pour l’ASL, il y a lieu de trouver un mix entre la persuasion et la répression.