Alors que le Conseil d’Etat a proposé cette semaine au Grand Conseil de soumettre le texte aux urnes, le Nouvelliste a constaté que l’erreur de traduction, repérée l’automne dernier, s’y trouvait toujours. La question est maintenant de savoir qui a autorité pour modifier l’initiative.
D’après le chancelier d’Etat, ce sont aux initiants de modifier le texte.
En français, l’initiative stipule que « l’Etat élabore des prescriptions contre les grands prédateurs », alors qu’en allemand « l’Etat élabore des prescriptions pour la protection contre le grands prédateurs ».