Un accord extrajudiciaire a été trouvé alors que l'encaveur avait déposé une plainte contre le journal haut-valaisan au civil en 2016. Il lui reprochait une atteinte à la personnalité, et lui demandait des dommages et intérêts.
Si les détails restent confidentiels, l’accord comprend une longue interview publiée dans les colonnes du journal. Dominique Giroud y déplore avoir été la victime de ce qu’il qualifie de lynchage médiatique. Quant à lui, le journal reconnaît des erreurs, et le fait que l’encaveur n'a jamais été sanctionné par la justice pour ses pratiques oenologiques.