Pour mémoire, Unia a bloqué le chantier aujourd’hui à l’aube. En cause, des soupçons de dumping salarial, imputés à l’entreprise sous-traitante slovène que ZM avait mandatée. Il s’est avéré que les ouvriers concernés étaient payés deux fois moins que le salaire minimum suisse, soit 12 francs de l’heure au lieu de 25.
De son côté, l’entreprise aiglonne précise s’être assurée que son sous-traitant remplissaient les exigences légales. Après un contrôle approfondi, elle déclare que certains documents pourraient être erronés, voire faux.