Une étude conjointe de l’EPFL et l’Université de Genève a analysé les effets du franc fort. Ses conclusion font craindre des délocalisations suite à l’abandon du taux plancher avec l’euro. C’est la première investigation scientifique sur le sujet. Elle a été conduite auprès des 200 entreprises suisses cotées en bourse.Ce travail confirme la difficulté pour les sociétés exportatrices de faire face au renchérissement des coûts de production en Suisse. L’étude a montré que le chiffre d’affaires des 200 entreprises a baissé en moyenne de 16,3% et le bénéfice net de 20,4%. Ces résultats ont été mesuré dans les six mois qui suivaient la décision d’abandon du taux plancher par la BNS.
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