Le pistolet utilisé lors de l'enlèvement vendredi à Belmont-sur-Lausanne n'est pas militaire. L’arme a été acquise légalement. Son propriétaire, qui s'est suicidé après avoir tué la jeune fille de 14 ans, n'était d’ailleurs pas connu des services de police. La police vaudoise ne donne pas d'autres informations, par exemple sur le mobile du meurtrier, par «respect de la sphère privée des familles». Plus de 40 patrouilles de police avaient été déployées pour retrouver le ravisseur et sa victime. La tragédie s'est déroulée en moins d'une heure.