
A la suite de publications d’articles de presse en septembre dernier révélant des éléments nouveaux au sujet de ces déplacements, le Procureur général du canton a chargé la police de mener des investigations complémentaires.
Celles-ci confirment que ni Géraldine Savary, ni Pascal Broulis n’ont bénéficié d’un quelconque avantage incompatible avec la charge qu’ils exerçaient.