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Cet hiver, la profondeur de ce phénomène a été estimée à 130 mètres, ce qui signifie que les eaux de surface n’ont pas pu être mélangées à celles situées au-dessous et jusqu’à 309 mètres de profondeur.
Conséquences, le fond du lac se réchauffe et la teneur en oxygène à cet endroit est faible, ce qui peut entraîner des effets néfastes sur son état de santé, selon la CIPEL, la Commission internationale pour la protection des eaux du Léman.