
- un nouveau-né prématuré en contact peau à peau avec sa mère - crédit photo: CHUV 2021 Rémi Clément
Le but est de pouvoir nourrir un nouveau-né malade ou prématuré, pour qui l’allaitement est souvent impossible.
Les données scientifiques montrent que le recours au lait de donneuses plutôt qu’à des laits « artificiels » permet notamment de réduire de moitié l’une des complications les plus redoutées de la prématurité, l’entérocolite nécrosante, une maladie qui affecte les intestins du bébé. Basé sur un modèle novateur en Suisse, équitable, sécuritaire et durable, ce projet sera mis en service en début d’année 2022.