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Laquelle remonte à la fin de l’année 2016 où un lanceur d’alerte dénonçait une pollution importante sur le site d’une gravière dans le Gros-de-Vaud. Le Ministère public a aujourd’hui requis une peine de 150 jours-amende avec sursis.
Cette sanction réprime également la calomnie ayant consisté à alléguer publiquement d’une part une pollution dont l’inexistence a été démontrée, et d’autre part que la Conseillère d'Etat Jacqueline de Quattro et ses services taisaient volontairement la prétendue pollution et ses conséquences, dans le but de favoriser intentionnellement le groupe Orllati.
Par ailleurs, une partie des faits a été classée et les deux autres co-prévenus ont été libérés de toute accusation.