Elle estime que les forces de l'ordre n'ont pas respecté un accord conclu avant l'opération.
Selon elle, elle n’aurait rempli qu’un rôle pacifique durant l’évacuation avant que plusieurs policiers ne l’embarquent avec force. La jeune femme dénonce une répression démesurée et une criminalisation des militants du climat. Elle avait notamment été accusée de violences et menace contre agent.
Selon le collectif, une deuxième plainte contre la police aurait été déposés par une personne qui faisait partie de l'équipe des soignants. Celle-ci aurait été embarquée par la police et laissée sans eau au soleil, victime d'insolation et déshydratée.
TN/ATS