Le Département de la santé n’accepte d’entrer en matière que si le patient invoque un cas de force majeure : médecin ou obligation professionnelle ou familiale impérieuse. Pour justifier ce choix, l’Etat invoque la complexité induite par l’organisation d’une campagne de vaccination à l’échelle cantonale.
Mais aussi l’agenda chargé des centres, qui vaccinent désormais quelque 60'000 personnes par semaine.
Le Valais, en revanche, n’impose aucune condition pour reporter un rendez-vous. Le patient peut annuler sa deuxième injection en ligne. Un autre rendez-vous lui sera proposé, ces derniers étant générés automatiquement. Ce qui n’est pas le cas côté vaudois.