
Ils expriment une profonde déception, notamment sur le la décision de laisser aux employeurs le choix d’accorder ou non la prime. Ils relèvent également que la première vague de la maladie doit être prise en compte, et non uniquement la deuxième.
Enfin, aucune déduction ne devrait être appliquée au montant versé. L’entier des signataires demandent d’ouvrir de nouvelles négociations.
L’Association suisse des infirmières et infirmiers, l’Association suisse des Ergothérapeutes, la Commission du personnel du CHUV, la Fédération syndicale service public, l’Association du personnel des EMS vaudois, le Syndicat interprofessionnel, le Syndicat suisse des services publics et l’Association des médecins assistants et chefs de clinique signent cette lettre ouverte.