Pour cela, il s’appuie sur la méthode de la préoccupation partagée. Laquelle permet de briser l’effet de groupe grâce à des entretiens individuels avec l’ensemble des élèves qui auraient pris part au phénomène.
Dans ce processus, le rôle des témoins est crucial. Ils sont concernés au même titre que les intimidateurs présumés. Les bénéfices de cette pratique harmonisée et moderne profitent déjà à une très large majorité des lieux de formation du canton.