
Chargée d’instruire une plainte pour extorsion en marge de l’affaire du fourgon blindé de Chavornay, elle était notamment accusée d’avoir omis de transmettre plusieurs contacts au plaignant et son défenseur.
Une manœuvre qui peut prêter flanc à la critique, mais qui ne constitue pas une erreur grave, selon le Tribunal fédéral. Il confirme ainsi le jugement déjà rendu par le Tribunal cantonal vaudois.
Pour mémoire, l’attaque du fourgon remonte à 2018. Elle avait mené à 13 arrestations. La plainte pour extorsion a été déposée par l’un des prévenus, contre un sous-locataire, lui aussi prévenu. Ce dernier l’aurait menacé de mort, s’il ne lui remettait pas 50'000 francs.