
Les températures élevées de ces derniers jours ne devraient pas porter atteinte aux oiseaux.
Ceux-ci sont en effet calés sur l’ensoleillement, plus que sur le thermomètre. Tout comme les bourgeons, certains volatiles, comme les hirondelles de rochers, auront toutefois à craindre l’éventuel retour des températures négatives. Une incidence qui ne serait pas à long terme sur les populations. C’est ce qu’explique le chercheur à la Station ornithologique suisse à Sion, Raphaël Arlettaz. Le biologiste pointe comme menace principale pour la biodiversité l’impact négatif de l’homme, et non le réchauffement climatique.