
La commune veut conserver la valeur du bien pour sa mise aux enchères, lorsque l’office des poursuite aura traité la faillite des trois sociétés qui composaient l’infrastructure. Cet argent constitue une avance et les autorités communales devraient récupérer les montants investis une fois la vente effectuée.
Ceci pour autant que la procédure ne dure pas des années, sinon Val d’Illiez ne pourrait plus se permettre cet apport. Les Bains seraient ensuite vendus en l’état, synonyme de perte pour tous les créanciers.