
Si la société Petrosvibri n’a plus le droit de rechercher et d’exploiter des hydrocarbures, elle a encore une chance concernant la géothermie profonde.
Dans sa réponse à l’interpellation de Raphaël Mahaim, le Conseil d’État vaudois a rappelé que la demande de Petrosvibri pour valoriser le forage de Noville a été déposée en mars. La procédure, qui décidera de la remis en état du site du forage, est en cours.