
À l’arrêt depuis un an, le chantier devrait même être terminé d’ici deux mois.
Mais le modèle de financement a changé, selon nos confrères de 24 heures. Le projet initial fonctionnait sous la forme d’une coopérative. Cependant, les porteurs du projet ne sont pas parvenus à trouver suffisamment de partenaires. Hier (je), la société néerlandaise Facultatieve Group a officiellement racheté le chantier, devisé à plus de 3,5 millions de francs, et compte bien le mener à son terme.
Elle assurera l’exploitation du crématorium via une société suisse qu’elle a créée. Son objectif : atteindre 1'500 crémations par an d’ici quatre ans.