
C’est ce qui ressort d’une étude du Centre hospitalier universitaire vaudois. Le CHUV relève toutefois qu’il s’agit, le plus souvent, d’un désir passif.
Les patients ne souhaitent pas d’intervention extérieure. Pour le centre hospitalier, cette étude souligne l’importance de ne pas éluder la question de la mort en début de séjour hospitalier. Ceci dans le but d’optimiser le projet de soins, selon les désirs du patient.
L’étude a été publiée dans la revue BMC Geriatrics.