
Les militants du climat ont été déboutés par la justice vaudoise. Ils ont été condamnés aujourd’hui en appel à Renens pour une partie de tennis sauvage chez Crédit Suisse.
Contrairement au premier jugement, il y a huit mois, la Cour d’appel a estimé que les douze activistes n'avaient pas agi en état de nécessité, une disposition du Code pénal qui justifie une action illégale sous certaines conditions. Les militants ont pour la plupart été condamnés à des peines pécuniaires avec sursis, ainsi qu'à des amendes allant de 100 à 150 francs. (ATS)