Elle a été menée par des chercheurs de l’EPFL, de l’Université de Lausanne et de l’Idiap. Et il en ressort que 55% des près de 7'000 sondés se sont retrouvés en télétravail.
Mode de travail qu’ils ne souhaitent pas, pour la plupart, adopter sur le long terme. Le semi-confinement semble également avoir amplifié des inégalités de genre. Si 3% des sondés ont perdu leur emploi… il s’agissait à 70% de femmes. En outre, une femme sur deux indique avoir pris l’école à la maison en charge, contre un homme sur dix.
Enfin, les sondés ont affirmé vouloir nouer des liens avec leur voisinage en cas de nouvelle crise. Ils se montrent toutefois fatalistes quant à l’avenir.