
C’est ce qui ressort du rapport annuel 2019 du service de l’environnement.
Les particules fines et le dioxyde d’azote n’ont franchi que rarement les valeurs limites journalières. En revanche, celles pour l’ozone ont été fréquemment dépassées entre mars et août de l’an passé, plus particulièrement lors des vagues de chaleur des mois de juin et de juillet.
Les mesures de contrôles de la pollution atmosphérique continuent donc d’être nécessaires afin de protéger la santé et prévenir les effets négatifs du changement climatique.