
A Vevey, la gestion des immeubles de la ville a été au centre des crispations, jeudi soir au Conseil communal.
Le législatif veveysan a refusé le préavis détaillant l’internalisation de la gérance des biens immobiliers de la commune. Les élus ont notamment réclamé la création d’une politique du logement claire.
Michel Agnant a été pris à parti à plusieurs reprises. Le municipal a fait l’objet d’une interpellation cosignée par cinq partis. En cause, sa gestion concernant l’achat avorté d’un bâtiment en vieille ville. Accusé de « faute grave » ou encore de « mensonges », l’élu Vevey libre s’est défendu. Il a parlé d’une « erreur due à un concours de circonstances ». Il a en outre démenti le terme « d’affaire », et évoqué une « tempête dans un verre d’eau ».