Sergei Aschwanden a présenté aujourd’hui une motion visant à limiter les temps de parole.
L’élu libéral-radical ne propose pas de cadre précis, mais il cite en exemple le Conseil national, où des règles fixes sont appliquées. Une commission se penchera sur le texte, puis le plénum se prononcera. Pas sûr, toutefois, que les députés acceptent de brider leur liberté d’expression. Des suggestions similaires concernant les débats budgétaires ont déjà été rejetées.