
Il ne s’agissait pas de coups de pioches destructeurs, mais plutôt « réparateurs ». Une dizaine de bénévoles est venue finir le travail de déplacement de 500m2 de marais entrepris l’an dernier dans le but de sauver l’inule helvétique. Cette plante ressemblant à une grosse marguerite jaune est protégée par la Confédération, mais s’est retrouvé condamnée suite au remblaiement de la zone industrielle du Grand-Clos, à Vionnaz également. A la grande surprise de Pro Natura, qui mène les travaux, des restes de racines ont donné vie à de nouveaux individus, qui ont à leur tour été déplacés aujourd'hui au Marais des Rigoles. Il s’agit de l’opération de la toute dernière chance pour la seule population valaisanne d’inules, mais les spécialistes ont bon espoir.










































