
Elle a été adressée au magazine Edito suite à un article publié cet été. Dans son édition de juin, le périodique consacré aux médias a accusé le quotidien vaudois de manquer d’esprit critique dans le traitement de l’affaire Broulis.
L’article insinuait aussi que l’ancien rédacteur en chef, Thierry Meyer, n’avait « pas toujours défendu sa rédaction contre les intérêts politiques ou économiques ». Des affirmations qui ne sont toutefois corroborées par aucune source et considérées comme du commentaire par le Conseil suisse de la presse.
Edito prétendait également qu'un supplément de 24 Heures avait été "offert" au Département des finances de Pascal Broulis peu avant une votation, alors que ce supplément était en fait payant.