
La faute aux conditions climatiques particulières notamment. En effet, le printemps froid et humide ainsi que les fortes précipitations ponctuelles d’été et d’automne ont favorisé le développement de maladies.
Le feu bactérien a touché 32 hectares de cultures fruitières pour un montant d’indemnisation de 740'000 francs. Des dégâts localement importants de bactériose, de tavelure, de drosophile et de cochenille ont également été enregistrés.
Notons encore que la nouvelle ordonnance fédérale sur la santé des végétaux entrera en vigueur l’an prochain. Elle demandera davantage de surveillance de la part du canton, afin de repérer les premières manifestations d’organismes nuisibles présents dans les pays limitrophes, mais pas encore en Suisse.