
Elles seraient dues à la présence de pyrite et de charbon dans la molasse qui, au contact d’une machine, libèrent du souffre.
Lorsque des émanations de gaz supérieur au seuil moyen toléré sont constatées, les ouvriers doivent s’interrompre, ralentissant ainsi le rythme de percement du tunnel.
La porte-parole des Transports publics lausannois note qu'il s'agit d'une situation inédite. Elle précise également que les riverains du chantier n'encourent aucun danger suite à cette réaction chimique inattendue.