
L’ex-chef du service valaisan de l’environnement l’a fait savoir au gouvernement, qui avait lui-même prononcé ce départ anticipé le 21 août dernier.
Selon nos confrères du Nouvelliste, l’ancien haut fonctionnaire démissionnaire n’en conteste pas moins la sentence. Dans son courrier au Conseil d’Etat, il qualifie la décision de « non fondée, non motivée, entachée de vices de forme et délivrée contre l’avis du chef du personnel ». Le quotidien valaisan nous apprend également que Joël Rossier, chimiste de formation, officie désormais comme chef de la filière Technologies du vivant à la Haute école d’ingénierie à Sion.