Le Grand Conseil en est conscient et se penche sur le sujet cette semaine. La volonté est d’optimiser les ressources en les concentrant sur un nombre limité de sites, mais aussi en séparant les tâches.
Ainsi le secteur des poursuites resterait présent dans les villes du canton. Par contre, celui des faillites ne serait réparti que sur deux ou trois endroits. Et c’est justement sur le nombre d’offices et leur situation que les avis divergent. Les premières discussions sur le sujet auront lieu vendredi.