
L’officier contestait son licenciement prononcé à la suite de propos tenus lors de la campagne pour l’élection au Conseil d’Etat en 2017.
Jean-Marie Bornet invoquait une violation de son droit d’être entendu et une inégalité de traitement. Dans un arrêt publié aujourd’hui, la haute cour juge cependant ce recours « en tous points mal fondé ».
De son côté, Jean-Marie Bornet a réagi dans un long communiqué qui retrace le déroulement de la procédure. Il dit prendre acte avec déception et incompréhension de cette décision.