Ils ont transmis aux gouvernements vaudois et valaisan une résolution demandant d’intervenir auprès de l’entreprise pour obtenir : le respect des conditions d’exploitation fixées dans la loi, de s’assurer que les travaux d’assainissement soient entrepris au plus vite, de procéder à des relevés fréquents de l’état de pollution de l’air et des eaux et d’informer la population. Ces exigences ont été validées par les membres de la section du mouvement écologiste réunis en assemblée générale le 5 mars. Pour mémoire, en décembre dernier, Tamoil Suisse avait prévenu dans une lettre ouverte à l'Union pétrolière suisse de ne pas pouvoir respecter les délais fixés par l'Etat du Valais pour assainir sa raffinerie dans le Chablais.