
Le Conseil suisse de la presse n'est pas entré en matière sur une plainte de l'encaveur valaisan Dominique Giroud.
Saisi dans l'affaire des écoutes d'un journaliste de la RTS, le CSP réaffirme que le secret des sources prévaut sur toute autre considération. Le Valaisan estimait que les conversations saisies au fil de ces écoutes révélaient de graves manquements à la déontologie de la part du journaliste. Le Conseil suisse de la presse n'entend cependant pas juger du cas. Dans une prise de position publiée aujourd’hui, il rappelle toutefois les principes fondamentaux du journalisme.