
Il y a trop de sangliers en terres vaudoises. Si le constat semble largement partagé, les mesures pour réguler le nombre de bêtes font débat.
En cause : l’engagement par le Canton d’un chasseur professionnel. Pour l’élue PLR Florence Gross, l’Etat aurait mieux dû s’appuyer sur les gardes-chasse et les titulaires de permis, plutôt que de miser sur l’efficacité d’une seule personne. La députée a déposé ce matin une interpellation. Elle demande au gouvernement des précisions sur cet engagement et sur les objectifs poursuivis.