Dans la révision totale de la loi sur la santé discutée cette semaine à Sion, ce point divise, même au sein des partis.
La question n’est pas de savoir si la pratique doit être autorisée ou non, mais si les établissements doivent laisser cette possibilité à leurs résidents, à l’intérieur de leurs murs. Actuellement, le Conseil d’Etat et les députés du Haut-Valais sont en faveur du statu quo, contrairement à la Commission de la santé, suivie par les députés du bas du canton.
Les Parlementaires devront trancher pour une obligation légale ou le maintien de la liberté des établissements, ce jeudi lors de la première lecture.