
L’inégalité de traitement entre hôteliers et hébergeurs clandestins doit cesser.
Un cri lancé ce matin par l’Association romande des hôteliers, qui a dans son viseur les personnes qui louent un bien via Airbnb. Ces dernières ne paient ni impôt sur leurs revenus, ni TVA, ni taxe de séjour. Elles ne remplissent pas de fiches d’arrivée et ne sont pas soumises aux normes anti-feu. L’ARH appelle les autorités des cantons de Vaud, Fribourg, Neuchâtel et Jura de soumettre les hébergeurs commerciaux clandestins aux législations et réglementations en vigueur.