Des chercheurs de l'EPFL ont mis au point un outil pour mesurer la réponse individuelle des patients à une dose donnée de chimiothérapie. Le procédé repose sur la signature électrique des cellules cancéreuses. Le dosage est l'une des questions clé en oncologie, selon l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne. De trop faibles doses de chimiothérapie, plutôt que de tuer les cellules malignes, induisent de dangereux mécanismes de résistance. L'équipe de l'EPFL est en discussion avec des oncologues pour développer le procédé. D'ici quelques mois, une start-up devrait être lancée pour faire de ces travaux de laboratoires une réalité dans les hôpitaux.










































