
Un avant-projet de loi visant cet objectif est en consultation jusqu’au 31 mai. Le texte propose de créer plus de places d’apprentissage et de stage pour les professions non universitaires.
C’est au Canton que reviendrait la compétence de fixer le nombre de places mise à disposition pour chaque institution sanitaire. En contrepartie, les prestations de formation seraient dédommagées. En revanche, une compensation financière sera demandée aux institutions qui ne formeraient pas assez de personnel.
Le Canton estime que ces dispositions doivent d’abord être appliquées aux professions des soins et de l’assistance ainsi qu’aux physiothérapeutes et ambulanciers.