
Au total, ce sont donc dix individus qui ont été formellement identifiés par le Service cantonal de la chasse de la pêche et de la faune.
Dans son monitoring annuel publié aujourd’hui, il précise que deux louves au moins se trouvent dans le Chablais. Aucune attaque contre des humains n’est à déplorer pour la période d’observation, qui s’étend de janvier 2018 à février 2019. L’impact sur le gibier reste, lui, compliqué à évaluer. En ce qui concerne les animaux de rente par contre, les pertes ont massivement augmenté.
Les autorités recommandent ainsi aux éleveurs d’éviter les pâturages et les alpages où la présence de canidés est confirmée, ou alors de prendre des mesures de protection adéquates.