
L’organisation va mettre un terme en mars à ce projet pilote lancé en 2015.
En cause notamment : les frais d’exploitation trop importants pour ce bus rempli de produits de 1ère nécessité à bas prix. En moyenne, le déficit à éponger se monte à 150'000 francs par année. En outre, le véhicule utilisé a besoin de coûteuses réparations.
La déception est d’autant plus grande pour Caritas que la pertinence de l’offre a été démontrée, notamment à Aigle et Bex. L’organisation affirme étudier d’autres variantes pour proposer son aide dans les périphéries.