
Deux collaborateurs de la Clinique romande de réadaptation à Sion ont été reconnus coupables d'homicide par négligence, à la suite de la noyade d'un patient en 2013.
Le Tribunal de district de la capitale a jugé que la physiothérapeute chargée de contrôler le bassin le jour du drame avait violé son obligation de surveillance. De son côté, le chef des physiothérapeutes, aujourd'hui à la retraite, a été condamné pour ne pas avoir suffisamment veillé à ce que les consignes de sécurité soient appliquées.
Ils ont écopé respectivement de 120 et 45 jours-amendes avec sursis, pour des équivalents de 9'000 et 7'650 francs.