
Les échantillons biologiques et les données cliniques fournies par les patients du CHUV peuvent à nouveau être utilisés pour la recherche.
En mai 2017, les autorités vaudoises avaient décidé de suspendre cette pratique afin de mettre en conformité certaines procédures. Il s’agissait en particulier de la communication aux patients d’informations sur leur état de santé à l’issue de ces recherches. Des étapes-clés pour mener à bien cette démarche ont désormais pu être établies. Le moratoire a donc été levé.