
Toutes les alternatives pour éviter la disparition du Matin papier n’ont pas encore été explorées.
C’est l’avis des gouvernements vaudois et genevois. Ils ont appelé aujourd’hui à une reprise du dialogue entre le personnel des rédactions romandes de Tamedia et l’éditeur zurichois. Dans un courrier envoyé à Tamedia, ils ont demandé à rencontrer rapidement la direction générale et le conseil d’administration du groupe. Face au risque de conflit collectif, le gouvernement vaudois a aussi proposé ses bons offices.
Rappelons que la restructuration annoncée doit déboucher sur 36 licenciements, dont 22 au sein de la rédaction. Quatre réductions de temps de travail sont aussi prévues.