
Le Grand Conseil vaudois veut mieux prévenir les cas de radicalisation et d’extrémisme violent. Il a validé aujourd’hui en premier débat le projet du gouvernement.
Le texte prévoit en particulier la mise en place d’une permanence téléphonique permettant de signaler des cas suspects. L’utilité de ce dispositif n’a pas fait débat, mais la gauche de la gauche a émis de nombreuses critiques. Selon Ensemble à gauche, le projet menacerait la sphère privée des individus et ouvrirait la voie à une surveillance arbitraire. Un deuxième débat sera nécessaire.