
- Photo: Unia
Accompagnés de leurs familles et de représentants d’Unia, ils se sont rassemblés aujourd’hui devant le siège de l’entreprise à Lausanne.
Le syndicat essaie, sans succès, d’entrer en contact avec la direction de Nespresso pour discuter des différents points jugés problématiques : un passage de 41 à 43 heures de travail par semaine, des tournus de douze heures de suite et l’obligation de travailler un week-end sur deux.
Unia reproche également à la direction d’avoir mis des pressions sur plusieurs employés pour les empêcher de prendre contact avec le syndicat.