Il a retiré la plainte déposée le 10 mars auprès du Conseil suisse de la presse contre un collaborateur de «24 heures». Il a obtenu des garanties du quotidien sur la différenciation entre faits et opinion sur son site Internet. Vers 15h00 le 10 mars, sur le site internet du quotidien, un article intitulé «Les députés giflent Lausanne» n’avait pas plus au gouvernement. Or, le vote du plénum n'avait pas encore eu lieu à ce moment-là. Et, le Parlement s'est finalement prononcé dans le sens contraire à celui annoncé «prématurément» par le journal.