
Tamedia déplore la saisie de l'Office vaudois de conciliation par ses rédactions romandes.
Ces dernières avaient fait appel à cet organe la semaine dernière pour dénoncer l’absence de dialogue social et demander notamment le gel des licenciements pendant deux ans. Elles étaient soutenues par deux syndicats de la profession. Un geste qui ne plaît pas à l’éditeur zurichois qui juge l’organe vaudois "pas compétent" dans la situation actuelle. Tamedia estime en outre qu'Impressum bafoue la convention collective de travail.